Appuie-moi sur toi | Dance for a while

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DERNIÈRE MINUTE

En raison de la blessure de l’un des interprètes de Lise Dusuel, nous sommes contraints de modifier le programme de soirée. Ainsi la pièce Bruits Blancs est remplacée par une autre pièce chorégraphique du répertoire de Lise Dusuel, Appuie-moi sur toi.

Dance for a while de Gianni Joseph est maintenu dans le cadre de cette soirée « double programme ».

Vos billets restent valables pour ce nouveau programme.
Si vous souhaitez un remboursement de vos places, nous vous invitons à contacter la billetterie du Grand R avant le 21 mars.
Tel. : 02 51 47 83 83
Email : billetterie@legrandr.com

Sur place, à l’accueil du Manège (Esplanade Jeannie-Mazurelle) :
du mardi au vendredi de 12h à 18h30 et le samedi de 11h à 17h

Une soirée, un double programme

Appuie-moi sur toi
Lise Dusuel

La chorégraphe-danseuse Lise Dusuel signe avec Bruits blancs un éloge de la modération.

Comment trouver sa place au sein d’un collectif ? Comment la mériter et la conserver ? Comment  trouver cet équilibre, parfois fragile, avec les autres. Il faut trouver du soutien, offrir son aide, composer avec autrui.

Pour Appuie-moi sur toi, Lise Dusuel réunit autour d’elle Steven Friconneau et Bérénice Picot, danseurs éclectiques nourris de danse contemporaine, de breakdance et de hip hop.

Accepte-t-on la responsabilité d’être celui qui porte, celui qui supporte ? Quel peut alors être l’impact de la disparition de l’un sur les autres ? Comme un jeu de construction ou un mécanisme aimanté, les rapports humains, caractérisés ici par les corps des danseurs, s’édifient, se désunissent, forgent de solides bases ou au contraire restent fragiles. Lise Dusuel

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Dance for a while
Gianni Joseph

S’inspirant du mouvement artistique des expressionnistes, ce solo de Gianni Joseph est le premier volet d’un projet protéiforme s’articulant autour de la notion du souvenir, des origines et de ce qui nous construit.

Sous forme d’une performance dansée, cette « danse de l’instant » est un recueil intime, une invitation à l’introspection par la danse. Dans cette ode à la libération, le chorégraphe danseur joue avec les notions de chute, de résistance, d’inversion et de gravité. En résulte une matière chorégraphique donnant la parole à l’expressivité des doigts, des mains et des postures dans leurs fragilités.

La compagnie de Gianni Joseph est implantée à Fontenay-le-Comte. En parallèle d’un travail de formation et de transmission auprès du CDNC d’Angers, du Ballet Prejlocaj, du CFA Pietragalla Derouault, il signe avec cette pièce un retour à la création chorégraphique.